Bizarrement, je crois que on coeur n'est plus un gîte d'étape, mon coeur n'est plus un passeur de connard.
"Ou tu sors, ou j'te sors mais 'va falloir prendre une décision".
minuscule
Un refuge
minuscule
Un refuge
Dimanche 23 mai 2010 à 14:32
Bizarrement, je crois que on coeur n'est plus un gîte d'étape, mon coeur n'est plus un passeur de connard.
"Ou tu sors, ou j'te sors mais 'va falloir prendre une décision".
Mercredi 19 mai 2010 à 20:49
Nous sommes le 19 Mai 2010.
Le temps passe encore et toujours à une vitesse folle. De pire en pire... Pour preuve, j'arrive encore à me souvenir de ce que j'ai fais il y à peu près 6 mois, avec précision comme-çi c'était hier.Ce qui m'a marqué, ce qui à changé ma vie ou simplement ma façon de vivre, de voir les choses. On arrive à tourner la page, mais c'est tellement plus accessible d'ouvrir les yeux, encore une fois et d'être nostalgique... Et on ravale les avalenches, parce que maintenant, pleurer c'est la honte mon frère...
Dans 2 semaines, je serai comme qui dirait, seule avec mes pauvres neurones. En tête-à-tête avec mes connexions cérébrales. Ces deux seules choses, pourtant si importantes pour enfin, décrocher ce diplôme et sortir de zonzon.
Pour être honnête, je n'arrive plus vraiment à écrire pour cause d'apaisement. Toute cette rage à été envahit en quelque mois par ce qui s'appelle tres certainement la sérénité, le calme, l'ambition qui m'a sauvée, et un peu de confiance aussi. Refaire confiance... Ce retournement de situation pourtant inattendu.
L'esprit toujours un peu vagabond, comme les pas et le reste, qui m'accompagnera jusqu'au bout.
* PD de rétro, et peut-être la fin temporaire de l'évangile selon Minuscule.
Le temps passe encore et toujours à une vitesse folle. De pire en pire... Pour preuve, j'arrive encore à me souvenir de ce que j'ai fais il y à peu près 6 mois, avec précision comme-çi c'était hier.Ce qui m'a marqué, ce qui à changé ma vie ou simplement ma façon de vivre, de voir les choses. On arrive à tourner la page, mais c'est tellement plus accessible d'ouvrir les yeux, encore une fois et d'être nostalgique... Et on ravale les avalenches, parce que maintenant, pleurer c'est la honte mon frère...
Dans 2 semaines, je serai comme qui dirait, seule avec mes pauvres neurones. En tête-à-tête avec mes connexions cérébrales. Ces deux seules choses, pourtant si importantes pour enfin, décrocher ce diplôme et sortir de zonzon.
Pour être honnête, je n'arrive plus vraiment à écrire pour cause d'apaisement. Toute cette rage à été envahit en quelque mois par ce qui s'appelle tres certainement la sérénité, le calme, l'ambition qui m'a sauvée, et un peu de confiance aussi. Refaire confiance... Ce retournement de situation pourtant inattendu.
L'esprit toujours un peu vagabond, comme les pas et le reste, qui m'accompagnera jusqu'au bout.
* PD de rétro, et peut-être la fin temporaire de l'évangile selon Minuscule.
