minuscule
Un refuge
Vendredi 24 juillet 2009 à 17:14
C'est ce qu'on essais de faire, se reunir. Tant bien que mal, mais aboutira t-on a quelque chose?
Et je suis là, posté sur cette chaise. Attendant un moyen de transport histoire de profiter de ces dernieres soirées quotidiennes avec ceux que l'on appelle dans la famille "Les gros".
L'aboutissement de soi, si vous faisiez de la pub pour de la morue surgelée, vous trouveriez ça gratifiant?
De ta pudeur à moi.
Ca ne veur plus rien dire tout ca.
Mercredi 22 juillet 2009 à 0:42
Ca sent l'enfance à plein nez, les colonies de vacances. Les envies de parcourir la France. Retourner a l'âge ou marcher sur ses les lacets n'était pas embêtant, ou les barbes à papa nous paraissaient plus alléchantes. Ou le métier qu'on voulait faire c'était "COMME PAPA". Ou les "COMMENT ON FAIT LES BEBES?" Et les "POURQUOI?" toutes les secondes ne nous pénalisaient pas.
Souviens toi quand tu faisais un trou dans ta purée pour y mettre la sauce. Quand tu sirotais ton diabolo menthe à la paille verte ou bleue, de toute façon tu choisissais la couleur.
Lorsque la petite Emma t'as fais un bisous sur la bouche tu es tombé amoureux d'elle. Quand tu faisais des bouquets de fleurs pour ta maman.
Quand jouer aux billes ne t'ennuyait pas. Quand écraser le rouge a levre de maman sur le miroir te faisait mourir de rire. Et quand tu réveillais ton grand frère pour dormir avec lui parce'que "J'AI PEUR".
Quand les boutons d'or servaient à savoir si "T'AIMES LE BEURRE" et dire "PAPA J'AI FINI" quand le temps passé aux toilettes est dépassé, ou simplement quand t'as fini.
Mercredi 22 juillet 2009 à 0:12
C'est par cette nuit d'été que me vient l'idée d'écrire et de me lancé dans une nouvelle page accessible à tous.
Le mieu ou l'inpalpable?
Mon objectif premier n'est pas que les gens me comprennent, mais qu'ils cherchent à comprendre. Leur imagination aura cette faculté d'en conclure ce qu'elle veut.
Le regard d'un enfant. Ce frère.